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Comment candidater ?

DATE LIMITE DE CANDIDATURE : le 15 juillet  2025

Le jury examinera les dossiers des candidats satisfaisant aux deux conditions suivantes :

  1. Voici les seuils des moyennes par année calculées avec les coefficients qui sont sur les maquettes :

    • Prix Espoir pour les L1 (et aussi PPPE 1 et 2), il faudra avoir plus de 17 de moyenne  sur les modules de mathématiques ;
    • Prix Ducrot pour les L2,  il faudra avoir plus de 16,5 de moyenne  sur les modules de mathématiques ;
    • Prix Ducrot pour les L3 et Master (MFA, MEEF, DS), il faudra avoir plus de 16 de moyenne  sur les modules de mathématiques ;
    • Les secondes chances sont prises en compte dans cette moyenne.
  2. Être inscrit dans une formation du département de mathématiques à l’université d’Angers, c’est-à-dire L1, L2, L3, doubles licences ou master, voir ci-dessous la liste complète et les conditions particulières. Les licences 2 et licence 3 à distance ne peuvent pas candidater.

Attention, on ne prend en compte que les notes de mathématiques, c’est-à-dire :

  • Pour les licences de mathématiques (MPC-M, MI-M, M, MA et PPPE) et double licence (math-info et math-éco), il faut prendre les notes des modules apparaissant sur l’espace Moodle « Licence de mathématiques » sans les notes de stage. Les « enseignements d’ouverture optionnels » E2O ne comptent pas.
  • Pour les PPPE, on ne prend pas en compte les notes du lycée Bergson.
  • Pour le master MEEF, on ne prend pas en compte les notes de l’INSPE.
  • Pour le master DS, on ne prend pas en compte les notes d’informatique, de modules professionnels et de stage.
  • Pour le master MFA, on ne prend pas en compte la note de stage.

Les étudiants de L1 de tous ces parcours, et les étudiants de L2 PPE, sont dans la catégorie Espoir avec une dotation moindre.

Le règlement du prix est consultable ici.

Pour candidater, il suffit d’envoyer un courriel à l’adresse « prix.mathematique.ducrot@contact.univ-angers.fr » avec son relevé de notes en mathématiques à partir de juin-juillet 2025.

Montant du prix

Pour calculer le montant du prix, nous allons prendre l’argent des sponsors récurrents auquel nous ajoutons un quart des sommes reçus par les dons privés (voici la page pour soutenir le prix). Nous divisons cette somme par le nombre de personnes récipiendaires du prix. Notre objectif initial était d’avoir un prix de 1000 euros.

En 2023, les montants étaient

  • 100€ pour les étudiants de L1 (prix espoir) ;
  • 350€ pour les étudiants de L2, L3 et master.

En 2024, les montants étaient

  • 100€ pour les étudiants de L1 (prix espoir) ;
  • 300€ pour les étudiants de L2, L3 et master.

Remise du prix:  le jeudi 25 septembre 2025 de 17h à 19h30 amphi D

L’inscription se fait sur ce site

Cérémonie 2024

Le livret des lauréats et des alumni est consultable à cette page.

Remise du Prix Ducrot 2024

Cérémonie 2023

Remise du Prix Ducrot 2023

Séminaires à venir

Séminaire de topologie et géométrie algébriques
It is well known that integral lattices in de Rham or rigid cohomology cannot satisfy étale descent. In this talk, I will show some positive results in this direction when considering the tame topology of Hübner--Schmidt. This is a joint work in progress with Kay Rülling and Shuji Saito.

Séminaire de probabilités et statistiques
The Covariance Matrix Adaptation Evolution Strategy (CMA-ES) is a stochastic derivative-free optimization algorithm designed to solve difficult (e.g., ill-conditioned, multi-modal) optimization problems. In this presentation, I will talk about the recent convergence results that are obtained by studying the stability of a Markov chain defined by the normalization of the state variables of CMA-ES. Even so CMA-ES has been the state-of-the-art algorithm for black-box optimization in moderate dimensions for more than 20 years, this is its first convergence proof. Joint work with Anne Auger and Nikolaus Hansen.

Séminaires systèmes dynamiques et géométrie
Let $(M,g,X)$ be a complete gradient Kähler–Ricci expander with quadratic curvature decay (including all derivatives). Its geometry at infinity is modeled by a unique asymptotic cone, which takes the form of a Kähler cone $(C_0,g_0)$. In this talk, we will show that if there exists a solution to the Kähler–Ricci flow on $M$ that desingularizes this cone, then it necessarily coincides with the self-similar solution determined by the soliton metric $g$. Furthermore, if one perturbs the soliton metric in a suitable manner, the resulting initial data generates an immortal solution to the Kähler–Ricci flow which, after appropriate rescaling, converges to an asymptotically conical gradient Kähler–Ricci expander.

Séminaire de topologie et géométrie algébriques

Séminaire de probabilités et statistiques
Imaginons qu'on joue au démineur sur une grand grille, et qu’on place des mines au hasard avec une densité prescrite. On observe alors une transition de phase (grossière), c’est à dire que si notre densité est en dessous d’un ordre de grandeur critique, alors on peut toujours gagner (et avec un algoithme de complexité linéaire), alors qu’au dessus de cet ordre de grandeur critique, on ne peut jamais gagner, ceci étant dû à l’apparition de motifs ambigus.

Séminaires systèmes dynamiques et géométrie

Les derniers séminaires

Séminaire 2PMA
TBA

Séminaire de probabilités et statistiques
In this talk, we address the stability problem of the famous Brascamp-Lieb inequality for strictly log-concave probability measures on the Euclidean space. More precisely, if a given function almost satisfies the equality in the BL inequality, is it true that it is close in some sense to the underlying extremal functions? Using a spectral interpretation of the BL inequality, we prove that the distance to the extremal functions in quadratic norm is of order square root of the deficit parameter, and involves the second positive eigenvalue of a convenient diffusion operator we wish to estimate. Our results are illustrated by some examples for which the usual uniform convexity assumption on the potential is relaxed. This is a joint work with M. Bonnefont (Institut de Mathématiques de Bordeaux) and J. Serres (Sorbonne Université).

Séminaire des doctorant.es
De manière informelle, une fonction élémentaire est une fonction définie sur un ouvert de R ou C qui s'exprime comme composition de fonctions exponentielles, de fonctions logarithmiques, d'opérations rationnelles (somme, produit, quotient) et d'opérations algébriques (telles que les racines n-ièmes). Il est plausible, d'après cette vague définition, que la dérivée d'une fonction élémentaire soit encore élémentaire. Inversement, il est bien connu qu'une fraction rationnelle à coefficients réels ou complexes admet comme primitive une fonction élémentaire. Par contre, il existe des fonctions élémentaires très simples n'ayant pas de primitive qui soit élémentaire : c'est le cas par exemple de la fonction x |--> exp(x^2). L'exposé consistera, d'une part à formaliser le concept de fonction élémentaire et d'autre part à démontrer un critère dû en partie à Liouville (1835), amélioré par Ostrowski (1946) permettant de tester si certaines fonctions admettent une primitive dite élémentaire. Le cadre de cette étude est purement algébrique, la notion de primitive étant considérée comme "inverse" de la dérivée : on dispose d'un corps de base K (penser au corps des fractions rationnelles sur C), d'un surcorps E de K et d'un opérateur de dérivation D : E --> E satisfaisant aux propriétés "habituelles". Il est alors possible de définir de manière rigoureuse ce que veut dire "f dans E est élémentaire sur K" et de donner dans certains cas un critère permettant d'affirmer que f admet une primitive g dans E, i.e. D(g) = f, élémentaire sur K.

Site hébergé par l'Université d'Angers.
Directeurs de la publication : Laurent Meersseman et Jean-Philippe Monnier