Devant le muet de plaisir
Qu'enchaine une telle peinture,
Dans une ombre à libre ceinture
Que le temps est près de saisir.
Cette ceinture vagabonde
Fait dans le souffle aérien
Frémir le suprème lien
De mon silence avec ce monde
Absent, présent... je suis bien seul,
Et sombre, ô suave linceul.