Sommaire Un peu de poésie dans un monde de brutes Load english version


Stéphane MALLARMÉ (1842 - 1898)
Le plus grand (à mon avis) poète de langue française s'est toujours plaint de stérilité. Jugez vous-même : Le vierge, le vivace et le bel aujourd'hui.., Le sonneur, Las de l'amer repos.., Angoisse, Le tombeau d'Edgar Poe, Brise marine, Éventail (de Mademoiselle Mallarmé), Tristesse d'été, Quelle soie aux baumes de temps...

Charles BAUDELAIRE (1821-1867)
« Moi, mon âme est fêlée. » Plus sensuel, plus onirique que Mallarmé mais tout aussi écorché, Baudelaire arrive juste après lui dans mon petit panthéon. Épaves et fleurs du mal : La fontaine de sang, Harmonie du soir, Allégorie, La mort des amants, Recueillement, Le revenant, Spleen, La vie antérieure, L'invitation au voyage.

Autres poètes, autres pages...
Eh non, je ne suis pas du tout éclectique. Mallarmé et Baudelaire sont les deux seuls poètes dont je sois vraiment inconditionnel. Pour les autres je cueille de ci de là un poème qui me plaît ou dont un vers m'a frappé. Petit échantillon : Ballade des pendus, Quand vous serez bien vieille..., Ciel, air et vents..., Antoine et Cléopatre, L'oubli, Les conquérants, Soleils couchants, Mon rêve familier, Chanson d'automne, Ophélie, Le dormeur du val, Chanson de la plus haute tour, L'éternité, L'étoile a pleuré rose..., Devant le feu, Le vin perdu, L'insinuant, La ceinture, Les chevaux du temps, La tonnelle, La cendre a étouffé le feu, (à suivre..).



La courte liste ci-dessus est bien sûr loin d'être exhaustive. Les adresses suivantes sont bien plus complètes :


Ombre épouvantable
des tilleuls taillés
sur le mur de l'école
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Les tulipes closes
inclinent leurs lances mauves
guerriers assoupis



Dernière mise à jour importante le 5 juillet 1998
(Page créée le 8 octobre 1997)